Devises du monde

Ça rentre pas dans les cases

Donner la devise et le pays (ou l'inverse) comme par exemple le yen japonais, cela fait toujours mauvais effet dans les programmes informatiques qui aiment que les données aient un format bien précis.

Différentes instances ont donc planché sur le sujet pour aboutir à 2 types de codification:

• la codification alphanumérique : le sigle.
• la codification numérique : le code.

Sigle de la devise

Normalisation depuis 1989 par l'I.S.O. (International Standard Organisation).

Ce mode de représentation de la devise est couramment utilisé et compris par toutes les institutions financières internationales.

Le sigle de la devise est composé de 3 lettres et contient 2 informations :

1. Le sigle du pays pour les 2 premières lettres du sigle.
2. L'initiale de la devise pour la dernière lettre du sigle.

2 exemples :

• pour le GBP, GB=Great-Britain, P=Pound.
• pour le CHF, CH=Confédération Helvétique (Suisse), F=Franc.

A noter que le pays et la devise sont exprimés dans la langue nationale ce qui peut parfois rendre difficile le décodage.

Code de la devise

Le code de la devise est numérique sur 4 chiffres (dont 3 sont utilisés actuellement).

Il s'agit d'une classification française destinée à faciliter certains traitements informatiques, par exemple des tris ou des classifications.

Le découpage est grossièrement celui-ci

• entre 1 et 199 : l'europe (1 pour la France, les pays de la CEE sont tous en dessous de 50, rien au-dessus de 100 actuellement).
• entre 200 et 399 : l'Afrique.
• entre 400 et 599 : l'Amérique du nord, centrale et du sud.
• entre 600 et 799 : l'Asie et le Moyen-Orient.
• entre 800 et 899 : l'Océanie et l'Australie.

Haut de page